Il existe des choses que l’on ne s’explique pas, des choses qui touchent le cœur des Hommes… La Transfiguration en fait partie. Si je prends ma plume aujourd’hui, c’est avant tout pour vous faire découvrir, de façon la plus explicite possible, cette médiumnité exceptionnelle que je pratique depuis 1991.
La Transfiguration, vous devez le comprendre, est avant tout un instant sacré où le Ciel et la Terre s’unissent et où chaque personne présente reçoit en fonction de ses besoins propres. C’est un moment de Fraternité et de Partage entre le monde visible et invisible.
Simple intermédiaire entre les deux rives, je ne suis qu’un « canal » au service de tous, mais plus particulièrement, de ceux qui souffrent de la perte d’un être cher, ainsi que de ceux qui croient en l’existence des Êtres de Lumière, des Guides Spirituels et des Guérisseurs Célestes.
Je voudrais, avant d’aller plus avant dans mes propos, faire un petit aparté sur le terme même de Transfiguration. Ce dernier ne doit en aucun cas être assimilé à celui que l’on trouve dans la Bible. Je n'ai ni la prétention de m'identifier à son auteur ni la volonté de nuire à quiconque.
Je tiens à préciser qu'à l'époque ce terme m’a été « inspiré » en associant deux mots : « transformation » et « figure » qui ont donné « Transfiguration ». Je prie toute personne de confession chrétienne qui serait d’aventure heurtée par cette terminologie de bien vouloir me pardonner. N’y voyez là vraiment aucune véhémence, car je suis profondément respectueux envers toutes les religions et toutes les croyances. Mon but n’est pas de choquer ou de créer de polémique, mais bien de révéler un phénomène hors du commun.
Aujourd’hui, avec votre aide, j’aimerais faire connaitre la Transfiguration au plus grand nombre, car elle mérite d’être connue et reconnue. En l’étudiant de façon précise, nous avons la possibilité de faire de formidables découvertes qui changeront, sans nul doute, la façon de penser de l’Homme moderne. Mon espoir est que ce dernier se tourne désormais vers l’étude des plans spirituels et qu’il trouve enfin sa divinité.
Je suis bien conscient que les révélations de mon quatrième livre seront une véritable révolution pour les consciences. Cependant, ce que je dis aujourd’hui, le pape Jean XXIII l’a prédit en son temps : il disait que la mort deviendrait petite et qu’elle serait vaincue. Entendez par là que la mort n’effrayera plus, qu’elle ne sera plus un sujet tabou, car l’existence de l’après-vie sera prouvée. Encore une fois, il n’est pas question de me mettre en avant, mais bien d’éveiller les consciences quant à cette réalité.
Depuis déjà quelques années, la position de l’Eglise au sujet du monde de l’Au-delà, et notamment d’un éventuel contact avec les défunts, a évolué. Certains prêtres deviennent ouverts à l’instar des travaux des Pères François BRUNE (auteur du livre Les morts nous parlent) et Gino CONCETTI, chroniqueur de l’observatore Romano, quotidien officiel du Saint-Siège.
Les extraits de texte qui suivent sont tirés d’un article qui a été publié par l’agence de presse ANSA sous la plume du père Gino CONCETTI , le 28 novembre 1996. Il parle de l’Au-delà d’une façon inédite. Le père Gino CONCETTI, frère de l’Ordre des Franciscains Mineurs, est l’un des théologiens les plus compétents. Il explique la position de l’Eglise :
1- Pour l’Eglise catholique, les contacts avec l’Au-delà sont possibles à condition que ce dialogue avec le monde des défunts soit fait sous l’inspiration de la foi. Dieu permet à nos chers défunts qui vivent dans la dimension ultra-terrestre d’envoyer des messages pour nous guider en certains moments de la vie. A la suite des nouvelles découvertes dans le domaine de la psychologie sur le paranormal, l’Eglise a décidé de ne plus interdire les expériences de dialogues avec les défunts à condition qu’elles soient menées avec une sérieuse finalité religieuse et scientifique.
2- Les messages peuvent nous parvenir non à travers les paroles et les sons, c’est-à-dire avec les moyens humains « normaux », mais au travers des signes divers : les songes, parfois prémonitoires, les impulsions spirituelles qui pénètrent dans notre esprit (impulsions qui peuvent se transformer en visions et concepts).
3- Ceux qui captent le plus souvent ces phénomènes sont des personnes sensitives, autrement dit des personnes qui ont une sensibilité supérieure à l’égard des signes ultra-terrestres, je veux parler de clairvoyants et médiums. Mais les personnes « normales » peuvent avoir certaines perceptions extraordinaires, un signe étrange, une illumination soudaine. A la différence des personnes sensitives, elles peuvent rarement parvenir à interpréter ce qui se passe en elles et à l’intérieur d’elles-mêmes.
4- Pour interpréter ces phénomènes, l’Eglise permet de s’adresser à ces « médiums », mais avec une grande prudence et à certaines conditions. Les « sensitifs » auxquels on peut demander assistance doivent être des personnes qui mènent leurs expériences, même avec des techniques modernes, en s’inspirant de la foi. Si ce sont des prêtres, c’est encore mieux…
5- Il est nécessaire de n’approcher du dialogue avec les défunts que dans des situations de grande nécessité : quelqu’un qui a perdu son père ou sa mère dans des circonstances tragiques (ou son enfant ou son conjoint) et ne se résigne pas à l’idée de sa disparition. Avoir un contact avec l’âme du cher défunt peut rasséréner un esprit bouleversé par le drame. On peut s’adresser aux défunts également si l’on a besoin de résoudre un grave problème dans sa vie. Nos ancêtres, en général, nous aident et ne nous envoient jamais de messages portant atteinte à nous-mêmes ou à Dieu…
6- Il ne faut pas jouer avec les âmes des trépassés. Il ne faut pas les évoquer pour des motifs futiles. Il convient aussi d’avoir un grand discernement à l’égard des signes de l’au-delà et de ne pas trop les « emphatiser », on risquerait de tomber dans une crédulité excessive des plus suspectes. Avant tout, il faut aborder le phénomène de la médiumnité avec la force de la foi, autrement on risque de perdre son équilibre psychique.
Je pense que ces extraits de texte peuvent rassurer les personnes catholiques pratiquantes qui viennent puiser un réconfort au travers de mes conférences. C’est en tout cas une petite ouverture pour celles et ceux qui vivaient jusqu’à présent leur quête spirituelle avec un sentiment de transgression de la foi chrétienne et de culpabilité.
Mon avant-propos étant clair, le lecteur doit aussi prendre conscience que le fruit de cette aventure, de ce livre, est un travail à la fois individuel et collectif. Individuel, dans le sens où j’ai travaillé seul sur moi-même afin d’acquérir des connaissances et développer mon potentiel. Collectif, parce que sans les Entités du monde de l’Au-delà, je n’aurais rien pu faire. C’est cette complicité, ce désir de travailler ensemble pour l’humanité, qui me rend crédible à leurs yeux, même si, quelque part, j’ai choisi cette mission en venant sur Terre et que tout a été décidé à l’avance…
Ceci étant dit, voici la définition que j’ai donnée à la Transfiguration :
La Transfiguration est le terme qui définit la matérialisation du visage d’un être désincarné, après incorporation dans le corps du médium et dont la manifestation se traduit par une superposition des deux visages.
Il s’agit, vous l’aurez compris, de montrer « de visu » le visage vivant d’un défunt, d’un guide spirituel ou d’un Être de Lumière. Oui, je dis bien « vivant » ! La Transfiguration n’est rien d’autre qu’un pont entre nos deux mondes. Elle vous donne l’occasion d’entrer en contact avec l’un de vos proches disparus, voire de votre guide (ou « ange gardien », dans le langage populaire, même si cette appellation n’est pas tout à fait exacte), et de vivre d’intenses émotions. Ainsi, elle est un moyen original, mais réel, de prouver qu’il existe bien une vie après la vie.
Bien que cela puisse vous paraître incompréhensible, ou faire peur à certains, ce n’est en réalité nullement le cas ! En effet, la Transfiguration s’explique car elle respecte les Lois Universelles établies, et se vit en face-à-face sans risque. J’affirme donc, sans hésitation, que vous ne vous compromettrez en rien lors de ces séances publiques ou privées : aucun cas de possession ou d’obsession n'est possible. La protection de mes propres guides et ceux du témoin vivant l’expérience, voire du public, est manifeste et efficace. Tout se réalise dans l’ordre et la discipline et rien ne se fait au hasard…
Pour être encore plus précis sur sa nature, je dirais que la Transfiguration est une médiumnité physique dont le résultat est l’apparition d’ectoplasmes. Lorsqu’une personne est témoin de ce phénomène, elle distingue très nettement une forme de « masque malléable » qui s’imprime sur le visage du médium. Ce « masque » est le produit d’une combinaison d’énergies de nature éthériques dont les Entités du monde de l’Au-delà se servent en les transformant en une substance semi-physique. Le but, pour eux, est de se matérialiser afin de prouver la survivance de l’âme… mais pas uniquement !
Comme nous le verrons dans la deuxième partie de ce livre, par une pratique constante, la Transfiguration a évolué d’années en années car je me suis moi-même métamorphosé. Ainsi, elle n’a pas été seulement le fait de voir des visages. Elle a également permis de communiquer avec ces Entités et d’avoir, par là-même, des messages dont le but est d’aider le témoin dans sa vie, de répondre aux questions qu’il se pose.
De plus, la Transfiguration est devenue une source accrue de bienfaits. Ma relation très étroite avec les Êtres de Lumière, les Guides Spirituels et les Guérisseurs Célestes, m’a permis de comprendre qu’elle pouvait être une formidable alternative à nos maux les plus divers.
Pour être plus explicite, je dirais qu’elle est devenue un moyen très particulier de soigner certains déséquilibres énergétiques. Ainsi, l’Entité qui s’incorpore est en mesure d’agir à travers moi et d’opérer un véritable rééquilibrage des corps physique, éthérique, émotionnel, mental et spirituel de la personne placée devant moi. Le témoin est totalement pris en compte, de la tête aux pieds, et se trouve dans un état stable, à tous les niveaux, au bout de quelques minutes seulement.
Une autre évolution de la Transfiguration est ce que j’ai appelé « le voyage extratemporel ». Le témoin est littéralement emmené, via un état de conscience modifié, dans une autre dimension, dans un autre espace-temps, pour vivre une aventure particulière où, généralement, elle reçoit un message de l’Entité qui l’accompagne, voire un enseignement… Le témoin est capable, en revenant à son état de conscience originel, de retransmettre ce qu’il a vu, entendu ou appris. Le voyage extratemporel reste néanmoins assez rare.
Enfin, depuis 2009, la Transfiguration a pris un tournant extrêmement important : elle englobe désormais la présence de l’énergie Christique et celle de plusieurs Guides de Lumière. Puisqu’il y a maintenant une notion de sacré, je me devais de préciser que j’utilise désormais le terme Transfiguration avec un « T » majuscule. Ce n’était pas le cas dans mon premier livre intitulé Je ne suis pas de ce monde… paru en 2007.